Soyez très nombreux à venir honorer la mémoire du Général de Gaulle, lors des cérémonies organisées, ce jour, dans vos villes et vos villages, partout en France.
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L'Atelier Canopé Marseille vous invite
mercredi 8 novembre 2017 de 14 à 17 heures
à assister à la présentation de l'ouvrage
Enseigner la Résistance, dirigé par Laurent Douzou et Tristan Lecoq
( Editions Canopé 2016 )
Programme de l'après-midi :
- Présentation des enjeux académiques, didactiques et pédagogiques de l'ouvrage par Tristan Lecoq, codirecteur de la publication, inspecteur général de l'Education nationale, professeur des universités associé (histoire contemporaine) à l'université Paris-Sorbonne, président du jury national des correcteurs du CNRD.
- Présentation des contenus scientifiques de l'ouvrage par Jean-Marie Guillon, professeur des universités émérite (Histoire contemporaine), membre du Laboratoire Temps, Espaces, Langages, Europe méridionale - Méditerranée (Université Aix-Marseille-CNRS).
- Présentation de l'espace pédagogique en ligne "Enseigner la Résistance", par Hélène Staes, responsable des activités pédagogiques de la Fondation de la Résistance.
Inscription à cet évènement sur le lien ci-dessous
https://www.reseau-canope.fr/service/enseigner-la-resistance-une-ressource-canope.html
Lieu de l'évènement :
Atelier Canopé
31, boulevard d'Athènes
13001 Marseille
Mercredi 1er novembre prochain
dans toutes les communes sera rendu hommage
aux Morts de Toutes les Guerres.
Soyez très nombreux à vous associer à cet hommage national en vous rendant, avec vos Drapeaux, devant vos Monuments aux Morts pour la France.
LA MEMOIRE A UN AVENIR !
UNADIF-FNDIR
Rappel historique sur les origines du Concours
Le Concours de la Résistance et de la Déportation est né progressivement de la volonté des associations de résistants et de déportés relayés par les pouvoirs publics, d'associer les jeunes à la commémoration de la Libération.
Le 25 février 1954, un arrêté signé par le ministre des anciens combattants, André MUTTER, constituait un Comité national des deux anniversaires pour la commémoration de la Bataille de la Marne (1914) et la commémoration de la Libération du territoire (1944).
En novembre 1955, la Confédération nationale des combattants volontaires de la Résistance (C.N.C.V.R.), réunie en Assemblée générale à Paris, a adopté une motion qui :
- demandait aux pouvoirs publics « de prendre toutes les mesures nécessaires à la rénovation de l'enseignement civique et moral à tous les degrés de l'Education nationale… » ;
- insistait « pour que dans tous les examens ou concours, la place tenue par ces disciplines soit nettement revalorisée … » ;
- appelait toutes ses Unions départementales à promouvoir « l'organisation de prix de civisme et de morale devant récompenser les élèves des établissements scolaires qui se sont distingués dans l'étude des questions civiques et morales … » ;
- souhaitait que « l'esprit et les exemples de la Résistance soient largement utilisés par le corps enseignant pour la formation civique et morale de la jeunesse … ».
Cette motion est à l'origine de la création, dans un certain nombre de départements, de prix de la Résistance.
En mai 1958, à Lyon, lors de la 3ème Assemblée générale de la C.N.C.V.R., son président, constatant qu'il n'existait qu'une trentaine de prix départementaux de la Résistance, demanda aux Unions départementales de généraliser dans toute la France l'organisation de ces prix, et réclama la création d'un Prix national de la Résistance.
La première session de ce prix fut organisée en 1960 dans certains départements.
La Confédération nationale des combattants volontaires de la Résistance qui était l'initiatrice de ce prix fut rejointe par la Fédération nationale des déportés et internés de la Résistance (F.N.D.I.R.) et le Réseau du Souvenir du père RIQUET.
En 1961, le ministre de l'Education nationale, Lucien PAYE, donna à ce prix un caractère officiel et une dimension nationale.
Les circulaires du 6 mars et du 20 avril 1964 adressées aux Recteurs et aux Inspecteurs d'Académie ont fixé le cadre de la participation des établissements scolaires à la commémoration du 20ème anniversaire de la Libération : recherche de documents ; projections de films ; expositions consacrées à la Résistance et à la Déportation ; participation active aux cérémonies commémoratives.
La circulaire du 25 février 1965 a précisé les modalités du Concours scolaire de la Résistance dont le thème était consacré à la déportation et au système concentrationnaire à l'occasion du 20ème anniversaire de la libération des camps.
Ces modalités ont été reprises pour l'essentiel chaque année, et ce concours est devenu le Concours national de la Résistance et de la Déportation.
© CRDP de Champagne-Ardenne Jean-Pierre & Jocelyne HUSSON
Gérard BOCQUERY Secrétaire général adjoint national de l'UNADIF
Président départemental de l'UNADIF-FNDIR de l'Oise
(ADIF de l'OISE)
Le Guide UNADIF Spécial CNRD 2017-2018 est bientôt disponible,
commandez-le auprès de notre siège CONTACT UNADIF
Et comme chaque année, pour bien préparer le concours, consultez ces différents liens :
http://www.unadif.fr/…/concours-national-de-la-resistance-e…
http://www.unadif.fr/actualites/cnrd-2017-2018
Soirée de lancement de l'ouvrage :
LA RESISTANCE OBLITEREE. SA MEMOIRE GRAVEE PAR LES TIMBRES
Mardi 14 novembre 2017 à 18 heures à l'Ordre de la Libération
Réservation obligatoire
par courriel : contact@ordredelaliberatio
par téléphone : 01 47 053 515
http://www.unadif.fr/eventlist/details/329-la-resistance-obliteree
UNADIF-FNDIR des Hauts-de-Seine UNADIF-FNDIR 92
PROJET « MEMOIRE DE LA DEPORTATION RESISTANTE »
Vendredi 6 octobre 2017, ce projet a été présenté par notre camarade Alain JOLY, Président de l'UNADIF-FNDIR des Hauts-de-Seine, devant les 135 Chefs d’établissement des collèges des Hauts-de-Seine.
Ce projet consiste à doter tous les CDI du coffret DVD UNADIF ( encore à paraître ) et du livre de Michel Claverie "Une mémoire philatélique des camps" pour accompagner les programmes scolaires et faciliter la participation au CNRD.
Le projet a été labellisé « 70ème anniversaire » en 2015 et est financé par le Ministère des Armées et par le Département 92.
Le président du Conseil départemental, Patrick Devedjian a apporté un soutien marqué et remarqué à ce projet mêlant Mémoire et Citoyenneté.
Plusieurs membres du Bureau de l’UNADIF-FNDIR 92 feront des interventions dans les collèges en accompagnement de ces documents et diffuseront par la même occasion le Guide UNADIF spécial CNRD 2017-2018.
Alain Joly est intervenu devant les 135 chefs d'établissement du département (Crédit photos : CD 92 / Stéphanie Gutierrez-Ortéga)
UNADIF - FNDIR
L'UNADIF-FNDIR et des délégations d'UNADIF-FNDIR départementales et leurs Drapeaux étaient présents au Mémorial de la France combattante du Mont Valérien pour le grand hommage annuel rendu aux combattantes et combattants de la Résistance
Gérard BOCQUERY Secrétaire général adjoint national de l'UNADIF
Président départemental de l'UNADIF-FNDIR de l'Oise
plus de 120 Porte-Drapeaux présents, parmi eux les Porte-Drapeaux UNADIF-FNDIR
Albums-photos sur les liens ci-dessous :
ALBUM N°1 Cérémonie sur l'Esplanade Frantz Stock
ALBUM N°2 Cérémonie en la Clairière des Fusillés
ALBUM N°1 Cérémonie sur l'Esplanade Frantz Stock
ALBUM N°2 Cérémonie en la Clairière des Fusillés
100 000 noms de collabos rendus publics : un sujet encore tabou
La liste officielle des 100 000 collabos français de la Seconde Guerre mondiale est désormais accessible aux historiens. L’historien Dominique Lormier, qui lui consacre un livre sorti le 21 septembre 2017, raconte comment elle a été bâtie et approuvée.
La connaissance de la collaboration durant la dernière guerre fait un pas décisif avec la publication d’une liste officielle. C’est un véritable tableau historique et social de la France qui explique aussi comment certains sont passés à travers les gouttes. L’historien Dominique Lormier décrypte*.
Comment a été constituée la liste des 100 000 collaborateurs français ?
« Elle a été constituée par le contre-espionnage français, sous la responsabilité d’un Breton, le lieutenant-colonel Paillole, qui fut l’un des rares officiers français à être informé de la date du débarquement en Normandie. Ce fichier a été réalisé dès l’Occupation, jusqu’à la Libération. »
On peut donc le considérer comme fiable ?
« En partie. Le thème de mon livre est justement de montrer qu’il y a eu des oublis volontaires et que la collaboration économique a été totalement sous-estimée. Les grands patrons n’y figurent pas. Cela est dû à la volonté du général de Gaulle, afin de relancer la machine économique après la guerre. La lutte des classes apparaît ainsi clairement à travers ce fichier, illustrée par une entraide évidente entre grands industriels et monde politique. Les petits patrons qui avaient un ou deux employés n’ont pas été épargnés, eux. »
Que nous dit cette liste de la répartition des collaborateurs sur tout le territoire ?
« Dans ce fichier figurent les « actifs ». Si on avait compté les sympathisants, il faudrait multiplier ce chiffre de 100 000 par deux ou par trois. La collaboration a été largement répartie sur l’ensemble du territoire mais, d’un département à l’autre, nous n’avons pas la même sociologie chez les miliciens. Vous avez la noblesse et la haute bourgeoisie dans certaines régions, des ouvriers et des classes moyennes dans d’autres. Des gens d’extrême droite et d’extrême gauche se sont également retrouvés dans la haine du système parlementaire. »
Pourquoi la liste est-elle déclassée maintenant ?
« Elle est sortie au moment du procès de Maurice Papon, en 1997. On s’est alors rendu compte que, parmi les gens qui accusaient Papon, certains figuraient dans le fichier… Il a donc été décidé de ne pas l’utiliser et de le mettre en veille. Jusqu’en décembre 2015, date à laquelle le gouvernement a décidé de rendre accessibles aux historiens les archives de la collaboration. Cette liste est donc désormais officielle et publique. »
En travaillant le sujet et en publiant ce livre, ne craignez-vous pas de réveiller le climat d’après-guerre, avec des familles de nouveau montrées du doigt ?
« Nous avons voulu écrire l’histoire du fichier sans faire de délation. Si nous avions publié intégralement les noms, il y aurait eu des suicides?! Donc, nous avons avancé de manière prudente, en citant tout de même pas mal de noms de gens qui ont réellement été condamnés pour collaboration. Ces noms de collaborateurs, dans chaque région, sont publics. Et leurs descendants connaissent leur histoire. Nous n’avons pas non plus puisé dans les noms des « suspects » et des « douteux » du fichier. La plupart n’ont d’ailleurs pas été jugés, bien qu’ayant réellement agi pour la collaboration. Mais il y a tout de même pas mal de noms surprenants qui apparaissent, comme celui d’un grand comédien… Dans le milieu du cinéma ou du théâtre, il fallait montrer patte blanche à l’occupant pour travailler. Sauf à partir aux États-Unis ou à s’engager comme Jean-Pierre Aumont, Jean Marais ou Jean Gabin. »
Vous écrivez que cette liste « entérine une forme d’épuration sauvage … »
« Cette période a permis tous les règlements de comptes. Elle a laissé s’exprimer toutes les jalousies sociales. Dans chaque département français, il y a eu en moyenne 200 personnes abattues pour des raisons de politique ou de jalousie, et non pour des faits de collaboration. J’établis aussi un parallèle entre ces femmes violées et humiliées par des FFI de la dernière heure, en 1945, et des hommes comme Bousquet et Papon, impliqués directement dans la déportation des juifs, qui sont ensuite devenus des notables de la IVe et de la Ve République. »
À travers les témoignages de jeunes collabos, on découvre des engagements qui ne semblent pas être le fruit d’errances de jeunesse…
« Nous avons les témoignages de Français qui s’engagent dans la Waffen SS en 44 alors qu’ils savent très bien que la guerre est perdue. Mais ils sont fascinés et préfèrent fuir le monde réel. Ils s’engagent dans une quête spirituelle et mystique, fondée sur la haine de la démocratie, avec une vision totalement manichéenne du monde. Ils assument totalement leur engagement, comme Drieu La Rochelle. »
La France n’a toujours pas fini de panser ses plaies ?
« Non. La collaboration reste un sujet tabou en France. Mais il faut avoir une vision panoramique des choses et si l’on additionne tous les forces de la Résistance, on arrive à un chiffre bien plus élevé que celui des collaborateurs. Ce qu’a toujours souligné quelqu’un comme Simone Veil. »
Ce qu’apporte la publication de cette liste aujourd’hui
« Cela donne un très beau tableau historique et social de la France et cela nous permet de comprendre les motivations, extrêmement diverses, des gens qui ont collaboré », estime Dominique Lormier.
« La défaite de 1940 est un véritable traumatisme national car on assiste à l’effondrement de la grande puissance coloniale qu’était la France. Les pensées politiques dominantes, comme le radical-socialisme, sont laminées. On se tourne alors vers le vainqueur du moment, car beaucoup de Français sont persuadés que la guerre va être gagnée par l’Allemagne et qu’il faut s’entendre avec elle, quitte à trouver des boucs émissaires, à travers les juifs notamment », ajoute-t-il.
« C’est aussi la mise en lumière de la nature humaine. La collaboration n’est pas une spécificité française. Elle a été beaucoup plus forte en Belgique et en Hollande. Mais quand la France n’a pas sa dimension de grandeur et d’humanisme, elle retombe dans les vieux clivages et dans un climat social délétère », souligne l’historien.
L'Historien Dominique Lormier
UNADIF-FNDIR de l'OISE
"J'ai deux passions : ma Patrie et la Vérité"
"J'ai défendu la première, les armes à la main. C'est avec la plume que je veux, aujourd'hui, servir la seconde.
[...] C'est sur le sol de France, sur ce sol souillé par l'ennemi, que je voulais me battre. Ce fut une lutte souterraine, un combat masqué.
Je suis entré dans la Gestapo, sur l'ordre de mes chefs de l'Armée secrète. J'ai porté, comme un cilice, l'uniforme à la tête de mort.
[...] J'ai connu le fond de la bassesse humaine. J'ai vécu avec la pègre des délateurs, traîtres et tortionnaires. Pire que cela, je les ai commandés ; ils ont été "mes hommes". Mais je ne suis pas revenu désespéré de ce cercle de l'Enfer, car j'y ai rencontré quelques hommes admirables, mes camarades, qui, à l'aube, partaient en chantant vers le poteau.
C'est à eux, à mes amis de la Résistance, que je pense en mettant aujourd'hui ma plume au service de la Vérité."
C'est par ces mots que débutent les mémoires de Jean Lacipiéras, héros de la Résistance.
Récit authentique et haletant, ce livre vous fera découvrir de l'intérieur la lutte clandestine contre l'occupant : vous suivrez la mission des plus périlleuses confiée à Jean Lacipiéras : infiltrer la police Gestapo !
Si cet extrait vous a donné envie d'en savoir plus sur ce héros méconnu de la Seconde Guerre mondiale, vous pouvez retrouver cet ouvrage ici : http://bit.ly/2pIgNcz
source : https://www.facebook.com/
La prison de Montluc en dessin
Détenue à la maison d’arrêt pour femmes de Lyon la veille de sa fermeture, Louise se réveille seule dans la prison. Entre rêves et réalité, elle rencontre alors d’anciens détenus incarcérés tout au long de l’histoire de la prison de Montluc.
La bande dessinée Songes à Montluc a été présentée les 16 et 17 septembre derniers, à l’occasion des Journées Européennes du Patrimoine, où elle a été distribuée aux jeunes visiteurs du Mémorial de la Prison de Montluc.
Editée par l’Office National des Anciens Combattants et Victimes de Guerre (ONAC-VG) et le Mémorial de la prison de Montluc, cette bande dessinée s’adresse à tous les publics. Réalisée à partir de portraits de détenus historiques, cette bande dessinée vise à faire comprendre la complexité de l’histoire de la prison de Montluc ainsi que ses différentes strates historiques et mémorielles. Une frise chronologique permet également aux lecteurs de bien situer les différents personnages entre l’ouverture de la prison en 1921 et sa fermeture en 2009.
Elle a vocation à être distribuée gratuitement dans les Hauts-Lieux de la Mémoire Nationale, les Centres de Documentation et d’Information ainsi que dans les bibliothèques et être offerte aux lauréats des différents concours nationaux (CNRD, bulles de Mémoire et petits artistes de la mémoire...).
Pour plus de renseignements :
Mémorial National de la Prison de Montluc - 69003 Lyon.
adrienallier@gmail.com
ONAC-VG
© Adrien Allier et Mathieu Rebière
MÉMORIAL NATIONAL DE LA PRISON MONTLUC
La prison militaire de Montluc, localisée en face du fort Montluc, ouvre ses portes en 1921. Utilisée pendant la Seconde Guerre mondiale, elle devient prison civile à partir de 1947 et ferme ses portes en 2009 comme maison d’arrêt pour femmes.
Prison militaire du régime de Vichy de 1940 à 1943, elle est réquisitionnée par l’occupant nazi à partir de janvier 1943 et ce jusqu’au 24 août 1944. Montluc est alors à Lyon et pour toute la région, la principale porte d'entrée vers la déportation et les exécutions. Lieu d’internement de près de 10 000 hommes, femmes et enfants durant l’occupation allemande, et notamment des enfants d’Izieu, de Jean Moulin et de Marc Bloch, la prison de Montluc est un lieu emblématique des politiques de répression allemandes dans la région de Lyon.
Le Mémorial National de la prison de Montluc ouvre ses portes au public en 2010 avec pour objectif de rendre hommage aux milliers de Résistants, Juifs, et otages, victimes des nazis et de Vichy, pendant la période de la Seconde Guerre mondiale, et de mieux comprendre la mise en place des politiques de répression.
Haut lieu de la Mémoire nationale, le Mémorial a rejoint en 2010 les sites gérés par le Ministère de la Défense, propriétés de l'État. Ces hauts lieux de la mémoire nationale évoquent chacun un aspect de la mémoire des conflits contemporains. Ce sont des lieux de cérémonies et de recueillement, mais aussi de transmission de la mémoire où sont notamment organisées des actions pédagogiques à destination du jeune public.
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