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3 décembre 2021 5 03 /12 /décembre /2021 05:00

 

L'INFO n° 1 386

 
 
 
 
UNADIF-FNDIR de l'Isère
 
 
 
 
UNADIF-FNDIR 38
 
 
 

Grenoble, jeudi 11 novembre 2021

 

 

- Une première cérémonie, était organisée devant la plaque qui marque l’emplacement exact de l’arrestation qui eut lieu le 11 novembre 1943. Ce jour-là, des centaines de Grenoblois, voulaient commémorer l’Armistice de 1918, les Allemands procédèrent à une vaste arrestation, 600 personnes furent arrêtées, elles passeront trois nuits à la caserne de Bonne. Les Allemands relâcheront les femmes et les enfants. Mais 400 hommes seront déportés vers les camps de la mort.

 

A la fin de la guerre, on ne compte qu’une centaine de personnes qui reviendront de l’enfer des camps. A ce jour, il ne reste que 3 survivants, la ville de Grenoble rendait hommage à Vincent Malerba, seul présent à cette cérémonie, venu accompagné de son fils Jacques.

 

Jean-Pierre Celse, président de l’association des Déportés du 11 novembre 1943, racontait les tristes évènements de cette page d’histoire qui a marqué à jamais la ville de Grenoble.

 

La gerbe commune des associations a été déposée, par l’Association pour la Mémoire de la Déportation, l’Amicale des Déportés du 11 novembre 1943 et l’Union Nationale des Associations de Déportés et Internés de la Résistance et Familles de l’Isère (UNADIF – FNDIR 38)

 

 

 

 

 - La deuxième cérémonie qui commémorait le 103ème anniversaire de la signature, à Compiègne, de l’Armistice de la Première Guerre mondiale se déroula place Paul Mistral devant le Monument aux Morts pour la France.

 

Cette guerre a fait plus de 20 millions de morts, combattants et civils, auxquels il faut ajouter des millions de blessés. Ne l’oublions jamais !

 

 Une délégation des élèves de l’externat Notre –Dame participait à la cérémonie, les élèves ont rendu hommage aux poilus de 1914-1918 en déposant une gerbe. Jacques Contensouzac, président départemental de l’UFAC a lu le manifeste de l’association : « Il n‘est pas une ville, il n’est pas un village de France qui ne garde, gravé dans la pierre d’un monument ou dans la mémoire, le souvenir de l’héroïsme d’une jeunesse terriblement éprouvée et décimée par cinquante-deux mois de combats meurtriers ».

 

 

 

 

 - A 19 heures sur la place de Verdun, une troisième cérémonie était organisée pour honorer l’engagement des militaires français sur les théâtres d’opérations extérieures dans le monde, et plus particulièrement au Sahel pour les troupes de montagne. Une cérémonie mémorable voulue par le Général Paul Sanzey, à la tête de la 27ème Brigade d’Infanterie de Montagne (27e BIM). Le Général souhaitait cette cérémonie, qui honora les 2 270 militaires de la 27ème BIM de retour en France, compte tenu de l’engagement de ses troupes ces derniers mois, notamment dans le cadre de l’opération Barkhane au Mali, de retour de la bande sahélo-saharienne. N’oublions jamais les 55 militaires tués au Mali.

 

Le Général Paul Sanzey, dans son ordre du jour, a félicité ses troupes pour leur travail « parfaitement accompli » lors des OPEX de ces derniers mois : « J’ai souhaité faire comprendre aux Grenoblois le rôle de nos troupes dans la fameuse opération Barkhane, qui fait couler beaucoup d’encre, mais qui fait la fierté de nos corps d’armées et de la France »

 

 

 

Jean-Paul Blanc, président UNADIF-FNDIR 38

 

 

 

Retour en images sur les trois cérémonies grenobloises
Retour en images sur les trois cérémonies grenobloises
Retour en images sur les trois cérémonies grenobloises
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1 décembre 2021 3 01 /12 /décembre /2021 05:00

 

L'INFO n° 1 385

 

 

Mardi 30 novembre 2021, Joséphine Baker entre au Panthéon
 
 
Hommage solennel de la Nation
 
 
Freda Josephine McDonald dite Joséphine Baker née le 3 juin 1906 à Saint Louis, Missouri, USA - Décédée le 12 avril 1975 à Paris XIIIe arr.
 
 
 
 
Joséphine Baker, la résistante
 
 
Joséphine Baker reçoit la Croix de la Légion d'Honneur des mains du général Martial Valin, en 1961.
 
Elle sera la première femme d'origine américaine à recevoir les honneurs militaires à ses funérailles en 1975.
 
Dès le début de la guerre, Joséphine Baker se montre une ardente patriote.
 
Devenue française par son mariage, en 1937, avec Jean Lion (de son vrai nom Levy), un industriel juif, elle décide d'entrer en résistance contre les nazis et refuse de chanter à Paris tant que les Allemands y seront. Elle a plus de 4 000 filleuls de guerre.
 
Chaque soir, elle assure la gestion à ses frais d'un centre d'accueil de réfugiés à la Gare du Nord. A l'aube elle regagne au Vésinet sa maison lointaine.
Avant de se coucher elle s'astreint encore à une longue prière. Elle dort quelques heures et dès qu'elle a pris son bain, elle s'assoit à une table dans sa chambre ; elle écrit à ses soldats. Puis elle s'occupe de la préparation des colis qu'elle leur destine et finance elle-même.
 
Elle effectue dès 1939 plusieurs tournées le long de la frontière nord-est pour motiver les troupes.
 
En septembre 1939, Daniel Marouani, frère de l'agent de Joséphine Baker, la présente à Jacques Abtey, officier du 2ème Bureau, le service de renseignement de l'Armée. Abtey, qui était chef du contre-espionnage militaire à Paris au moment de la déclaration de guerre, est alors chargé de recruter des « Honorables Correspondants » des personnalités bénévoles et dignes de confiance susceptibles de se rendre partout sans éveiller les soupçons afin de recueillir des renseignements sur l'activité des agents allemands. Jacques Abtey relate ainsi leur rencontre, à la villa Beau Chêne du Vésinet :
" Grande fut ma surprise lorsque je l'aperçus… nous avancions par l'allée du parc, lorsque nous entendîmes un joyeux « Hello ! » Puis ce fut l'apparition, au-dessus des buissons, d'un feutre ratatiné… Souriant de toutes ses dents, elle était là, une main dans la poche d'un vieux pantalon, l'autre tenant une vieille boite de conserve rouillée remplie d'escargots … Je fus, dès le commencement de notre conversation, saisi par l'étrange rayonnement de mon interlocutrice… Parlant sans rechercher d'effet, d'une voix douce, égale… je dus faire un effort afin de ne pas laisser paraître mon émotion quand elle me parlait de la France, son pays d'adoption : « C'est la France qui m'a fait ce que je suis, je lui garderai une reconnaissance éternelle. La France est douce, il fait bon y vivre pour nous autres gens de couleur, parce qu'il n'y existe pas de préjugés racistes. Ne suis-je pas devenue l'enfant chérie des Parisiens. Ils m'ont tout donné, en particulier leur cœur. Je leur ai donné le mien. Je suis prête, capitaine, à leur donner aujourd'hui ma vie. Vous pouvez disposer de moi comme vous l'entendez. »
 
 
Les Français Libres
 
Il est alors convenu que Joséphine Baker se servira de ses relations pour se faire inviter aussi souvent que possible dans les cocktails donnés dans les ambassades afin d'y recueillir des informations sur les troupes ennemies. Elle réussit ainsi à obtenir, lors de réceptions données dans les ambassades d'Italie et du Portugal, de précieux renseignements sur les mouvements des troupes allemandes et les intentions de Mussolini au début de la guerre.
 
Titulaire d'un brevet de pilote, elle rejoint, pour masquer son engagement dans le contre-espionnage, les Infirmières Pilotes Secouristes de l'Air (IPSA) et accueille des réfugiés de la Croix Rouge.
 
Début 1940, sur l'avis de Jacques Abtey, Joséphine Baker quitte Le Vésinet pour le château des Milandes en Dordogne où se formera autour d'elle un noyau de résistants.
 
Lorsque le général de Gaulle lance son appel du 18 juin 1940, elle accepte avec enthousiasme de servir de couverture à Jacques Abtey, qui a reçu pour mission de transmettre aux services de renseignement de la France Libre, les renseignements recueillis en zone occupée sur les positions allemandes.
 
Jacques Abtey voyagera sous la fausse identité de Jacques Hebert comme « artiste » qui « accompagne Madame Joséphine Baker » selon la mention portée sur son visa. Les renseignements sont transcrits en langage chiffré et à l'encre sympathique sur les partitions musicales.
 
Le passeport au nom de Jacques Hebert avec lequel le commandant Abtey s'est rendu en Espagne, au Portugal et en Afrique du Nord.
 
Soupçonnée par les Allemands de cacher des armes, Joséphine fait preuve d'un grand sang-froid lorsque ceux-ci demandent à perquisitionner sa propriété des Milandes, alors qu'elle y héberge des résistants : « Je pense que Monsieur l'officier ne peut être sérieux. Il est vrai que j'ai des grands-parents Peaux-Rouges mais il y a bien longtemps qu'ils ont enterré la hache de guerre, et s'il y a une danse que je n'ai jamais dansé, c'est bien la danse de guerre. »
 
En 1941, Joséphine Baker et Jacques Abtey sont tous deux envoyés en Afrique du Nord en mission pour la France Libre.
 
Alors que Jacques Hébert ne parvient pas à obtenir de visa, Joséphine Baker part seule en Espagne donner des représentations et revient avec des notes d'informations qu'elle épingle dans son soutien-gorge. Elle évoque cette anecdote avec malice :
 
« C'est très pratique d'être Joséphine Baker. Dès que je suis annoncée dans une ville, les invitations pleuvent à l'hôtel. A Séville, à Madrid, à Barcelone, le scénario est le même. J'affectionne les ambassades et les consulats qui fourmillent de gens intéressants. Je note soigneusement en rentrant… Ces papiers seraient sans doute compromettants si on les trouvait. Mais qui oserait fouiller Joséphine Baker jusqu'à la peau ? Ils sont bien mis à l'abri, attachés par une épingle de nourrice. D'ailleurs mes passages de douane s'effectuent toujours dans la décontraction… Les douaniers me font de grands sourires et me réclament effectivement des papiers… mais ce sont des autographes ! »
 
 
En juin 1941, Joséphine Baker tombe gravement malade. Son hospitalisation qui durera 19 mois ne met pas un terme à son activité de renseignement, bien au contraire puisque sa chambre devient un centre d'échanges d'informations secrètes. Elle s'emploie également à convaincre tous les officiels américains qu'elle rencontre de soutenir le général de Gaulle et la France Libre.
 
Lors du débarquement des Américains en Afrique du Nord, le 11 novembre 1942, elle quitte sa chambre d'hôpital pour vivre l'événement tant attendu.
 
A peine rétablie, Joséphine Baker part soutenir le moral des troupes et organise des spectacles en remettant à l'armée française l'intégralité de ses cachets. Entre 1943 et 1944, elle mettra à la disposition des œuvres sociales de l'armée de l'air plus de 10 millions de francs.
 
Voyant l'effet que produisent les concerts de Joséphine sur le moral des troupes, un officier américain lui propose de signer un contrat pour la durée de la guerre, ce qu'elle refuse en soulignant qu'elle est un soldat de la France Libre et qu'elle chante bénévolement pour l'armée française. Elle se met à la disposition du Haut Commandement des troupes pour donner des spectacles partout où on lui demande d'aller, finançant elle-même ses tournées. Elle n'a bientôt plus un sou mais ne se plaint jamais, convaincue de se battre pour une cause juste.
 
Elle parcourt des dizaines de milliers de kilomètres en jeep à travers les déserts pour donner des spectacles dans les camps isolés de l'armée et dans les villes d'Alger, Agadir, Fez, Tunis, Benghazi, Alexandrie, Le Caire, Jérusalem, Haïfa, Damas et Beyrouth, partageant le quotidien des soldats avec ses risques et ses contraintes, au prix de sa santé.
 
Lors de son passage à Alger en 1943, le général de Gaulle, reconnaissant, lui offre une petite Croix de Lorraine en or qu'elle vend par la suite aux enchères pour la somme de 350.000 francs au profit exclusif de la Résistance.
 
Après avoir combattu l'occupation allemande en travaillant pour la Résistance, Joséphine Baker est, le 23 mai 1944, officiellement engagée pour la durée de la guerre à Alger, dans l'armée de l'air, et devient sous-lieutenant, rédactrice première classe, échelon officier de propagande. Elle débarque à Marseille en octobre.
 
De nouveau hospitalisée en 1946, elle reçoit alitée, en présence de Madame de Boissieu, fille du Général de Gaulle, la médaille de la Résistance française avec rosette des mains du Colonel de Boissoudy.
 
Les autorités militaires manifesteront cependant beaucoup de réticence à reconnaître son action, rejetant à deux reprises, en 1947 et en 1949 la proposition de sa nomination comme chevalier de la Légion d'Honneur. Il faudra l'intervention du général Billotte, chef d'état-major particulier du Général de Gaulle, du général Bouscat, chef d'état major général de l'armée de l'air et d'Alla Dumesnil-Gillet, supérieure hiérarchique de Joséphine Baker en Afrique du Nord, qui rédigent des rapports sur ses états de service pendant la guerre, pour que Joséphine Baker obtienne enfin la reconnaissance officielle qu'elle mérite pour son engagement patriotique.
 
Par décret du 9 décembre 1957 [JO du 14/12/1957], elle est faite chevalier de la Légion d'Honneur et reçoit la Croix de guerre avec palme. Le texte du décret est édifiant :
" Dès 1939, se met en rapport avec les services du contre espionnage, fournissant de précieux renseignements, notamment sur l'éventualité de l'entrée en guerre de l'Italie, sur la politique du Japon et sur certains agents allemands à Paris. En octobre 1940, se met en rapport avec un officier du 2e Bureau. D'un courage et d'un sang-froid remarquables, transporte des messages secrets et continue à fournir des renseignements très utiles aux services alliés de l'intelligence service. Mobilisée pour la Croix Rouge, se dépense sans compter.
Quitte Paris pour la Dordogne, soupçonnée par les allemands de cacher des armes, une perquisition est opérée dans sa propriété, fait preuve d'un courage et d'un sang-froid remarquables. Afin de faciliter le départ d'agents de renseignements pour l'Angleterre, monte une troupe artistique composée uniquement de gens désireux de rallier les F.F.L. ; passe en Espagne, soi-disant à destination du Brésil. A Lisbonne, reçoit un télégramme de Londres lui demandant d'organiser en France un nouveau service de renseignements. Rejoignant Marseille, mise en rapport avec un agent de renseignements est obligée de reprendre son activité artistique. Voulant quitter le sol de France part au Maroc en 1941, collabore avec les mouvements de résistance Française.
Invitée dans les Ambassades et les Consulats lors d'une tournée en Espagne, recueille de précieux renseignements. Dès le débarquement allié en Afrique du Nord, à peine remise d'une longue maladie, s'engage dans les Formations Féminines des F.A.F.L. - Envoyée au Moyen-Orient, met son talent, son énergie au service des Combattants Français et alliés. Suit le corps Expéditionnaire Français en Italie. Belle figure de la femme française au service de la Résistance".
 
 
Les médailles lui sont remises solennellement le 19 août 1961 dans le parc de son château des Milandes, par le général Martial Valin (1898–1980) commandant en chef des Forces aériennes françaises libres de juillet 1941 à juin 1944, puis chef d'état-major général de l'armée de l'air française d'octobre 1944 à février 1946 et enfin inspecteur général de l’armée de l’air jusqu'en 1957.
 
Joséphine Baker fut décorée de la Croix de Chevalier dans l'Ordre national de la Légion d'honneur, de la Croix de Guerre 1939-1945 avec palme, de la Médaille de la Résistance française avec rosette, de la Médaille commémorative des services volontaires dans la France Libre et de la Médaille commémorative française de la Guerre 1939-1945.
 
Elle sera la première femme d'origine américaine à recevoir les honneurs militaires à ses funérailles en 1975.
 
 
Et si Joséphine Baker entrait au Panthéon ? L'idée a été émise par l'écrivain Régis Debray dans une tribune du Monde en date du 16 décembre 2013. Cette « panthéonisation » de Joséphine Baker aurait le mérite d'éclairer un pan méconnu de son histoire, de rappeler au public qu'elle n'a pas été seulement une danseuse de music-hall devenue célèbre grâce à ses danses endiablées et ses pitreries. Son passé de résistante, sur lequel elle a toujours été discrète, ainsi que son combat contre le racisme méritent de rester dans nos mémoires.
Sous-Lieutenant Joséphine Baker décorée de la Croix de Chevalier dans l'Ordre national de la Légion d'honneur, Croix de Guerre 1939-1945 avec palme, Médaille de la Résistance française avec rosette, Médaille commémorative des services volontaires dans la France Libre, Médaille commémorative française de la Guerre 1939-1945.
Sous-Lieutenant Joséphine Baker décorée de la Croix de Chevalier dans l'Ordre national de la Légion d'honneur, Croix de Guerre 1939-1945 avec palme, Médaille de la Résistance française avec rosette, Médaille commémorative des services volontaires dans la France Libre, Médaille commémorative française de la Guerre 1939-1945.
Sous-Lieutenant Joséphine Baker décorée de la Croix de Chevalier dans l'Ordre national de la Légion d'honneur, Croix de Guerre 1939-1945 avec palme, Médaille de la Résistance française avec rosette, Médaille commémorative des services volontaires dans la France Libre, Médaille commémorative française de la Guerre 1939-1945.

Sous-Lieutenant Joséphine Baker décorée de la Croix de Chevalier dans l'Ordre national de la Légion d'honneur, Croix de Guerre 1939-1945 avec palme, Médaille de la Résistance française avec rosette, Médaille commémorative des services volontaires dans la France Libre, Médaille commémorative française de la Guerre 1939-1945.

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29 novembre 2021 1 29 /11 /novembre /2021 05:00

 

L'INFO n° 1 384

 
 
 
 
UNADIF-FNDIR de l'Oise
 
 
 
 
UNADIF-FNDIR 60
 
 
 

Compiègne, Clairière de l'Armistice, jeudi 11 novembre 2021

 

 

La Ville de Compiègne a commémoré le 103ème anniversaire de l'Armistice 1918
 
 
Notre Drapeau UNADIF-FNDIR de l'Oise était porté lors des cérémonies sur les différents lieux des cérémonies Compiégnoises.
 
 
La cérémonie dans la Clairière historique fut présidée par le ministre de l'éducation nationale, de la jeunesse et des sports, Jean Michel Blanquer qui raviva la Flamme sacrée et déposa la gerbe du président de la République, en présence de centaines d'enfants des écoles Compiégnoises.
 
 
Le Maire de Compiègne Philippe Marini et son Adjoint Joël Dupuy de Mery ont souhaité mettre à l'honneur la Gendarmerie nationale. Les différentes composantes de l'Arme étaient réunies dans la Clairière et dans les airs, en présence du Général commandant la légion de Gendarmerie de la région des Hauts de France.
 
 
Deux jeunes élèves des écoles Compiégnoises ont lu des textes qui ont ému fortement toutes les personnes présentes sur ce lieu de notre mémoire mondiale.
 
 
C'est avec grand honneur et respect que je représentais notre président national UNADIF-FNDIR Jean-Marie Muller
 
 
 
Secrétaire général adjoint national de l'UNADIF-FNDIR
Président départemental de l'UNADIF-FNDIR de l'Oise.
(Droits photos : Richard Dugovic photographe de Compiègne et son agglomération)
(Droits photos : Richard Dugovic photographe de Compiègne et son agglomération)
(Droits photos : Richard Dugovic photographe de Compiègne et son agglomération)
(Droits photos : Richard Dugovic photographe de Compiègne et son agglomération)
(Droits photos : Richard Dugovic photographe de Compiègne et son agglomération)
(Droits photos : Richard Dugovic photographe de Compiègne et son agglomération)
(Droits photos : Richard Dugovic photographe de Compiègne et son agglomération)

(Droits photos : Richard Dugovic photographe de Compiègne et son agglomération)

Retrouvez les albums-photos complets de ces cérémonies du 11 novembre 2021 en la Clairière de Compiègne sur notre page Facebook de l'UNADIF-FNDIR de l'Oise : ADIF de l'OISE lien ci-dessous

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26 novembre 2021 5 26 /11 /novembre /2021 05:00

 

L'INFO n° 1 383

 
 
 
 
UNADIF-FNDIR de l'Isère
 
 
 
 
UNADIF-FNDIR 38
 
 
 

Villefontaine, jeudi 11 novembre 2021

 

 

Une trentaine d'élèves du collège Aragon de Villefontaine participa à cette cérémonie du 103ème anniversaire de l’Armistice.
 
 
Certains sont inscrits au Concours National de la Résistance et de la Déportation (CNRD) et travaillent à raison d'une heure par semaine sur le thème du concours. Les autres sont tous issus d'une même classe, la 3ème 4, dans le cadre d'un projet spécifique initié par Jean-Paul Blanc, président UNADIF-FNDIR 38, projet qui permettra de retracer le parcours du Déporté-Résistant Robert Vallon.
 
 
Le 11 novembre nous fûmes accompagnés par Alain Vallon, fils de Robert et les élèves déposèrent une gerbe au Monument aux Morts. Par ailleurs, les élèves de l'atelier « Résistance et Déportation » ont lu un texte concernant le 11 novembre 1918 raconté par un Poilu et ceux de la classe de 3ème 4 engagés sur le projet Robert Vallon, lurent, quant à eux, un texte expliquant qui sont les Chasseurs Alpins et précisant leur rôle dans la Première Guerre mondiale.
 
Cela nous semblait important puisque nous avons eu la chance d'avoir un Piquet d'honneur du BCA lors de cette cérémonie.
 
 
 
Marielle Montagne, Collège Louis Aragon, Villefontaine (38)

 

Les collégiens ont déposé la gerbe en présence de notre Ami Alain Vallon et son épouse
Les collégiens ont déposé la gerbe en présence de notre Ami Alain Vallon et son épouse
Les collégiens ont déposé la gerbe en présence de notre Ami Alain Vallon et son épouse
Les collégiens ont déposé la gerbe en présence de notre Ami Alain Vallon et son épouse
Les collégiens ont déposé la gerbe en présence de notre Ami Alain Vallon et son épouse
Les collégiens ont déposé la gerbe en présence de notre Ami Alain Vallon et son épouse

Les collégiens ont déposé la gerbe en présence de notre Ami Alain Vallon et son épouse

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24 novembre 2021 3 24 /11 /novembre /2021 05:00

 

L'INFO n° 1 382

 
 
 
 
UNADIF-FNDIR des Hauts-de-Seine
 
 
 
 
UNADIF-FNDIR 92
 
 
 

Rueil-Malmaison, jeudi 11 novembre 2021

 

 

Allocution de notre ami Alain Joly, président UNADIF-FNDIR 92 et président du comité d'entente des associations patriotiques et mémorielles et du devoir de mémoire.

 

 

 

VIDEO (lien ci-dessous)

 

 

https://fb.watch/9ky5tt8eeD/

11 novembre 2021 à Rueil-Malmaison
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22 novembre 2021 1 22 /11 /novembre /2021 05:00

 

L'INFO n° 1 381

 
 
 
 
UNADIF-FNDIR du Haut-Rhin
 
 
 
 
UNADIF-FNDIR 68
 
 
 

Mulhouse, jeudi 11 novembre 2021

 

 

Notre président national UNADIF-FNDIR Jean-Marie Muller, président également de l'UNADIF-FNDIR 68 a commémoré aux côtés des élèves et des autorités civiles et militaires, le 103ème anniversaire de l'Armistice de 1918.

 

Une large et émouvante parole a été donnée à la jeunesse par l’intermédiaire du Conseil municipal Jeunes.

 

Plusieurs dépôts de gerbe ont été effectués notamment celle de Michèle Lutz, Maire de Mulhouse avec Jean-Marie Muller, Président national UNADIF-FNDIR et de l’Omspac Mulhouse, celle de Jean Rottner, Président de la Région Grand-Est, celle d’Olivier Becht, Député du Haut-Rhin.

 

Le Message de Geneviève Darrieussecq, Ministre déléguée à la Mémoire et aux Anciens Combattants, a été lu par Alain Charrier, Sous-préfet de Mulhouse.

 

L’Orpheon de Mulhouse a assuré, brillamment comme de coutume, les interprétations musicales patriotiques.

 

Les autorités présentes ont salué et remercié les très nombreux porte-drapeaux présents, dont celui de l’UNADIF FNDIR, Richard Hentschel.

 

 

Notre président national Jean-Marie Muller a déposé la gerbe avec la Maire de Mulhouse, Michèle Lutz
Notre président national Jean-Marie Muller a déposé la gerbe avec la Maire de Mulhouse, Michèle Lutz
Notre président national Jean-Marie Muller a déposé la gerbe avec la Maire de Mulhouse, Michèle Lutz
Notre président national Jean-Marie Muller a déposé la gerbe avec la Maire de Mulhouse, Michèle Lutz
Notre président national Jean-Marie Muller a déposé la gerbe avec la Maire de Mulhouse, Michèle Lutz

Notre président national Jean-Marie Muller a déposé la gerbe avec la Maire de Mulhouse, Michèle Lutz

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19 novembre 2021 5 19 /11 /novembre /2021 05:00

 

L'INFO n° 1 380

 
 
 
 
UNADIF-FNDIR de la Meurthe-et-Moselle
 
 
 
 
UNADIF-FNDIR 54
 
 
 
Samedi 11 novembre 2021, la commémoration du 103ème anniversaire de l'Armistice du 11 novembre 1918 a eu lieu sur l'esplanade de la Porte Désilles à NANCY sous la présidence du Directeur de cabinet de Monsieur le Préfet de Meurthe-et-Moselle.
 
 
La Musique militaire de Montigny-lès-Metz, des corps de troupes de la Base Aérienne 133, du 53ème Régiment de Transmissions de LUNEVILLE, de la Gendarmerie, des cadets de la Marine et de la Gendarmerie garnissaient les contours de la place, les nombreux porte-drapeaux ayant pris place au pied du monument.
 
 
Des textes de poilus et l'ordre du jour ont été lus par des collégiens et lycéens de Champigneulles et de Nancy, le message de la Ministre aux Armées par le représentant de l'Etat.
 
 
Le Délégué Militaire Départemental a énuméré les noms des 12 militaires tués en service commandé au cours de l’année 2021.
 
 
A l'appel de chaque nom, la chorale de la Mirabelle de NANCY répondait par un vibrant : "Mort pour la France".
 
 
Une gerbe a été déposée au nom des associations d'anciens combattants, patriotiques et mémorielles, dont notre UNADIF-FNDIR.
 
 
Les autorités civiles et militaires ont également procédé à un dépôt de gerbe. Pour le Ravivage de la Flamme sacrée, l'épée a été présentée par Madame Huguette LEPAGE, pupille de la Nation et Présidente départementale des Fils de Tués.
 
 
A la suite de l'Appel aux Morts, La Marseillaise a été entonnée à capella par la chorale de la Mirabelle accompagnée du nombreux public présent.
 
 
Cérémonie particulièrement émouvante du fait de la nuit tombante et d'un voile brumeux qui lui donnait toute sa solennité.
 
 
 
Jean-Pierre Pesson, président UNADIF-FNDIR 54
 
11 novembre 2021 à Nancy
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15 novembre 2021 1 15 /11 /novembre /2021 05:00

 

L'INFO n° 1 379

 

 

 

UNADIF FNDIR de l'Oise
 
 
 
 
UNADIF-FNDIR 60
 
 
 
 
Compiègne, cérémonies de la Toussaint
 
 
Lundi 1er novembre 2021
 
 
 
 
Les autorités civiles et militaires et les représentants des associations patriotiques et mémorielles et leurs porte-drapeaux se sont rassemblés pour honorer la mémoire des défunts de toutes les guerres.
 
 
Lundi 1er novembre, Michèle Rossi et Camille Tumerelle, membres UNADIF-FNDIR de l'Oise, fille et arrière-petite-fille de Déportés-Résistants, ont déposé la gerbe des Déportés-Résistants au pied du Monument des Déportés, Internés et Fusillés du camp de Royallieu, Jean-Luc Demoisson, fils de Déporté-Résistant, membre UNADIF-FNDIR la gerbe des Anciens combattants au pied du Monument aux Morts pour la France, place Saint Jacques de Compiègne.
 
 
Notre président départemental Gérard Bocquery portait notre Drapeau UNADIF-FNDIR sur les différents lieux des cérémonies.
 
 
Grand merci pour les photos à Richard Dugovic photographe de Compiègne et son agglomération et à Chrystèle Defert Déléguée générale de l'Oise du Souvenir Français
 
 
 
 
 
 
Nos membres UNADIF-FNDIR ont déposé les gerbes des Déportés-Résistants, notre président Gérard Bocquery portait notre Drapeau UNADIF-FNDIR sur les différents lieux de mémoire
Nos membres UNADIF-FNDIR ont déposé les gerbes des Déportés-Résistants, notre président Gérard Bocquery portait notre Drapeau UNADIF-FNDIR sur les différents lieux de mémoire
Nos membres UNADIF-FNDIR ont déposé les gerbes des Déportés-Résistants, notre président Gérard Bocquery portait notre Drapeau UNADIF-FNDIR sur les différents lieux de mémoire
Nos membres UNADIF-FNDIR ont déposé les gerbes des Déportés-Résistants, notre président Gérard Bocquery portait notre Drapeau UNADIF-FNDIR sur les différents lieux de mémoire
Nos membres UNADIF-FNDIR ont déposé les gerbes des Déportés-Résistants, notre président Gérard Bocquery portait notre Drapeau UNADIF-FNDIR sur les différents lieux de mémoire
Nos membres UNADIF-FNDIR ont déposé les gerbes des Déportés-Résistants, notre président Gérard Bocquery portait notre Drapeau UNADIF-FNDIR sur les différents lieux de mémoire
Nos membres UNADIF-FNDIR ont déposé les gerbes des Déportés-Résistants, notre président Gérard Bocquery portait notre Drapeau UNADIF-FNDIR sur les différents lieux de mémoire
Nos membres UNADIF-FNDIR ont déposé les gerbes des Déportés-Résistants, notre président Gérard Bocquery portait notre Drapeau UNADIF-FNDIR sur les différents lieux de mémoire
Nos membres UNADIF-FNDIR ont déposé les gerbes des Déportés-Résistants, notre président Gérard Bocquery portait notre Drapeau UNADIF-FNDIR sur les différents lieux de mémoire

Nos membres UNADIF-FNDIR ont déposé les gerbes des Déportés-Résistants, notre président Gérard Bocquery portait notre Drapeau UNADIF-FNDIR sur les différents lieux de mémoire

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11 novembre 2021 4 11 /11 /novembre /2021 18:00

 

L'INFO n° 1 378

 

 

Samedi 20 novembre 2021

 

 

Rencontre Inter-amicale (Union des Associations de Mémoire des Camps nazis) à Paris

 

 

Association française Buchenwald, Dora et kommandos – Amicale du camp de concentration de Dachau – Amicale de Mauthausen, déportés, familles et amis – Amicale de Neuengamme et de ses kommandos – Amicale de Ravensbrück – Amicale d’Oranienburg-Sachsenhausen et ses kommandos.

 

 

Colloque  : " L'avenir de nos associations "

 

 

09 h 00 : Rendez-vous au cimetière du Père-Lachaise, devant l’entrée rue des Rondeaux (métro Gambetta).

 

 

09 h 15 : Début de la cérémonie publique au Père-Lachaise. Depuis l'entrée du cimetière, nous nous dirigerons vers les différents monuments des camps afin de les fleurir et de nous y recueillir. À l'issue de notre parcours commémoratif, nous nous rendrons ensemble à la Mairie du 20e arrondissement.

 

 

10 h 15 : Cérémonie au Monument aux Morts de la Mairie du XXème arrondissement (6, avenue Gambetta).

 

 

10 h 30 : Début du colloque organisé par nos Amicales sur le thème : « L'avenir de nos associations ». Ce colloque aura lieu dans la salle des fêtes de la Mairie du XXème arrondissement de Paris.

La parole sera également laissée au public, afin que vous puissiez nous faire part de vos idées et questions sur l'avenir de nos Amicales et Associations.

 

 

12 h 30 : Fin du colloque et début de la pause déjeuner. Les mesures sanitaires en application au sein de la Mairie ne nous permettent pas d'y organiser un buffet comme de coutume. Le déjeuner sera donc libre. Les membres de l'Amicale de Dachau prévoient néanmoins de manger ensemble dans une brasserie ; merci donc de nous informer si vous souhaitez vous joindre à nous afin que nous puissions réserver en conséquence. Le repas sera à régler sur place.

 

 

14 h 30 : Réunions, conseils d’administration ou assemblées générales des différentes amicales. Pour sa part, l'Amicale de Dachau tiendra une simple réunion centrée sur ses activités et projets. Notre Assemblée Générale aura lieu la semaine suivante par visioconférence.

 

 

Règles sanitaires en vigueur pour cet événement : Seul le colloque donné à la Mairie est soumis au passe sanitaire ainsi qu'au port du masque.

 

 

Message d'Alicia Genin, Secrétaire de l'Amicale de Dachau

 

 

Renseignements :

amicaledachau.france@gmail.com

L'avenir de nos associations
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7 novembre 2021 7 07 /11 /novembre /2021 12:00

 

L'INFO n° 1 377

 
 
 
 
UNADIF FNDIR de l'Isère

 

 
 
 
 
UNADIF-FNDIR 38
 
 
 
 
GRENOBLE, samedi 16 octobre 2021
 
 

Le président Jean-Paul Blanc, a convoqué les membres UNADIF-FNDIR de l’Isère pour l’assemblée générale ordinaire annuelle dans les locaux de la caserne de gendarmerie OFFNER de Grenoble.

 

Après la lecture du compte rendu moral par le président qui rendait hommage aux quatre déportés décédés dont trois des suites de la COVID 19, une minute de silence était observée par l’ensemble des présents.

 

Lecture du compte-rendu d’activité par la secrétaire générale et du compte-rendu financier par le trésorier. Ceux-ci ont été approuvés à l’unanimité.

 

La majeure partie des travaux était accès sur le projet  :  « La Mémoire a un Avenir » , projet initié par le siège national UNADIF-FNDIR. C’est à la demande du Président national Jean-Marie Muller que ce projet est lancé pour la première fois en France.

 

D’autres projets ont été initiés :

- Achats de plaques funéraires pour les tombes de nos camarades décédés.

 

- Nos archives comprennent de nombreux films de témoignages de Pierre Gascon, Déporté-Résistant, ancien président UNADIF-FNDIR 38, ancien président national de la FNDIR, décédé en février 2019. Ces films seront regroupés et gravés sur DVD par un professionnel pour servir de support pour les conférences.

 

Un autre projet verra le jour avec l’association des Amis de l’Ordre de la Libération : la confection d’un livret sur les villes Compagnon de la Libération.

 

Le Vice-président du conseil départemental, chargé de la Mémoire, la Directrice de l’ONAC-VG 38 et le Maire-adjoint en charge de la Mémoire de la ville de Grenoble étaient présents à l’assemblée. Tous ont salué unanimement le travail de l’UNADIF-FNDIR 38 et l’ont assuré de leur soutien pour la réalisation des différents projets.

 

Pour clôturer cette journée, une cérémonie fut organisée devant le Monument des Gendarmes morts pour la France, sur la place d’armes, les gerbes ont été déposées par les représentants du Conseil départemental, de la Ville de Grenoble et de l’UNADIF-FNDIR 38.

 

Jean-Paul Blanc, président UNADIF-FNDIR 38    

 

 

Photos Le DL /Serge MASSE Dépôt de gerbe de Jean-Paul Blanc et Daniel Huillier Photos Le Dauphiné Libéré /Serge MASSE

L'assemblée générale et le dépôt de gerbes devant le Monument de la Gendarmerie. Photo Le DL /Serge MASSE Dépôt de gerbe de Jean-Paul Blanc et Daniel Huillier  Photo Le Dauphiné Libéré /Serge MASSE
L'assemblée générale et le dépôt de gerbes devant le Monument de la Gendarmerie. Photo Le DL /Serge MASSE Dépôt de gerbe de Jean-Paul Blanc et Daniel Huillier  Photo Le Dauphiné Libéré /Serge MASSE
L'assemblée générale et le dépôt de gerbes devant le Monument de la Gendarmerie. Photo Le DL /Serge MASSE Dépôt de gerbe de Jean-Paul Blanc et Daniel Huillier  Photo Le Dauphiné Libéré /Serge MASSE

L'assemblée générale et le dépôt de gerbes devant le Monument de la Gendarmerie. Photo Le DL /Serge MASSE Dépôt de gerbe de Jean-Paul Blanc et Daniel Huillier Photo Le Dauphiné Libéré /Serge MASSE

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