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5 octobre 2014 7 05 /10 /octobre /2014 06:00

L'INFO n° 635

 

 

Lundi 1er septembre 2014 : Cérémonie du 70ème anniversaire du Train de Loos

 

Gare de Tourcoing, le vendredi 1er septembre 1944, alors que les troupes britanniques sont à l’approche, ayant libéré Arras et Douai, les nazis déportent en Allemagne, 871 personnes, dont une majorité de résistants, arrêtés souvent depuis plusieurs semaines.

 

Trente-trois membres du réseau Sylvestre-Farmer (capitaine Michel), autant de l’Organisation Civile et Militaire (OCM), des membres des réseaux Ajax, Century, Pat O’Leary, vingt-huit membres du mouvement Voix du Nord, trois officiers du BCRA (Bureau central de renseignements et d'action, les services secrets de la France libre), des résistants FTP, ainsi que cinquante-trois otages, de nombreux réfractaires au STO et quatre Juifs.

 

Sur ces 871 résistants et otages, seulement 275 revinrent de déportation en 1945.

 

 

La prison de Loos durant l'occupation

La prison de Loos durant l'occupation

Allocution de Madame Anne VOITURIEZ, Maire de Loos, prononcée le 1er septembre 2014, à l’occasion de la commémoration du 70ème anniversaire du Train de Loos.

 

« Monsieur le Président de l’Amicale du Train de Loos, Monsieur le Président de l’Association du Centre de Mémoire de l’Abbaye Prison de Loos, Mesdames et Messieurs les membres d’associations de déportés, Mesdames et Messieurs les membres du Conseil municipal. Chers concitoyens :

C'est avec beaucoup d'émotion que je prends la parole aujourd'hui pour commémorer le tragique épisode du train de Loos.

Il y a 70 ans le vendredi 1er septembre 1944, à la veille de la libération de Lille, 871 détenus sont regroupés à la prison de Loos et transportés en gare de Tourcoing pour un ultime convoi de déportés. 275 seulement revinrent.

C'est leur mémoire à tous que nous célébrons aujourd'hui et je tiens à cette occasion à adresser un salut très chaleureux aux anciens combattants et prisonniers de guerre, aux associations patriotiques, porte-drapeaux et officiers de réserve ainsi qu’aux familles de déportés ici présents.

 

Rappelons le contexte historique :

A la suite du débarquement en Normandie en juin 1944, Paris est libéré le 25 août. Le 1er septembre, les Britanniques sont à Douai. Craignant un soulèvement général de la population, l'armée allemande multiplie les arrestations d'otages et de résistants.

Elle précipite l’évacuation des prisons de la zone et regroupe les détenus à la prison de Loos : En juillet et août 1944, plus de 1500 détenus sont ainsi entassés à 15 dans des cellules de 9m² à la prison de Loos.

Le 26 août, deux hommes avertis : le Pasteur Marcel PASCHE et le Consul suisse, Fred HUBER, rencontrent le chef de la prison, SIEBEBER. Ils parviennent à faire libérer certains détenus dont toutes les femmes : 700 hommes et femmes sont ainsi libérés par groupes de  20 toutes les demi-heures, et doivent se disperser au plus vite...

Les 871 détenus restants sont amenés par camion à la gare de Tourcoing entre 5 H 30 et 17 H 30, et entassés à 80 ou 90 par wagon dans un train de marchandises. Le dernier camion avec 23 détenus arrive à la gare alors que le train est parti : ceux-là ont eu de la chance, ils ont été sauvés par une crevaison sur le parcours et libérés sur place...

Vers 17h30, le sinistre convoi, encadré par des Waffen SS, démarre en direction de la Belgique. 13 déportés réussissent à s'évader du train entre Tourcoing et Cologne. Pour les autres c’est 3 jours de voyage dans des conditions inhumaines ; 20 à 30 déportés décéderont durant le transport.

Le 3 septembre, le train arrive à Cologne : 26 déportés sont transférés dès leur arrivée vers le camp de Buchenwald, 250 sont envoyés à Mulheim pour dégager des voies ferrées bombardées. Quant aux autres c'est en grande partie vers Sachsenhausen qu'ils seront déplacés en octobre 44.

Au printemps 45, devant l'avance des alliés, les camps sont évacués vers la Baltique. Au cours de ces interminables marches de la mort des centaines de déportés du train de Loos trouvent la mort.

Le terrible bilan fait état de 560 décès et de 275 survivants.

 

Nous rendons hommage aujourd’hui à tous ces déportés dont la plupart étaient originaires de notre région, victimes d'enchaînements successifs du destin.

Nous rendons hommage au courage et à la générosité de ces hommes qui étaient majoritairement emprisonnés pour des faits liés à la Résistance et dont 56% avaient moins de 30 ans.

Leurs noms gravés sur ces plaques de bronze apposées à ce mur en 2006 ne doivent pas sortir de nos mémoires. 

Je salue, aujourd'hui, l’initiative respectueuse de l’Amicale du train de Loos.

L'oeuvre de mémoire est essentielle aujourd'hui, 70 ans après les faits, dans notre Europe encore marquée des stigmates du passé. Les récents évènements d’Ukraine nous rappellent les lignes de fracture du continent européen, et la vigilance de chaque jour qui doit être la nôtre.

Toutefois je ne veux pas terminer ce discours sur une note pessimiste.

Il faut certes inlassablement rappeler la tragédie qui s’est jouée ici à quelques heures de la débâcle allemande.

Rappeler les horreurs commises par le sinistre Reich nazi nous permet de tirer les leçons du passé mais ne doit pas avoir pour objectif de raviver les plaies anciennes.

Combattre la haine qui divise les hommes, qui divise les peuples et travailler à une Europe toujours plus unie, voilà notre horizon, à nous citoyens de Loos, à nous citoyens d’Europe ! »

Cérémonie de Loos, lundi 1er septembre 2014

Cérémonie de Loos, lundi 1er septembre 2014

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4 octobre 2014 6 04 /10 /octobre /2014 05:00

L'INFO n° 634

 

Vendredi 24 octobre 2014, à 15 heures, conférence du Docteur Michel Claverie, membre du Conseil d'administration de l'UNADIF, sur le thème

"La déportation dans les camps nazis"

Salle Montaigne du Nouveau Théâtre de Périgueux

 

La conférence sera suivie, à partir de 17 heures, d'une séance de dédicaces du nouveau livre UNADIF, ouvrage du Docteur Michel Claverie

"Une mémoire philatélique des camps"

à la librairie Marbot, cours Montaigne à Périgueux

La déportation dans les camps nazis
La déportation dans les camps nazis
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3 octobre 2014 5 03 /10 /octobre /2014 05:00

L'INFO n° 633

 

La 17ème édition des "Rendez-vous de l’Histoire" se déroulera du 9 au 12 octobre 2014 à Blois sur le thème : " Les Rebelles "

Rendez-vous de l'Histoire

Les Rendez-vous de l’Histoire est un lieu unique d’échanges, de discussions et de divertissement entre historiens et grand public. 

 

Lancé il y a plus de seize ans, le Festival s’impose désormais comme l’un des foyers intellectuels de premier plan en France.

Historiens, responsables politiques et associatifs, journalistes, écrivains, éditeurs, enseignants, étudiants, ou passionnés d’histoire s’y retrouvent pour échanger idées et projets.

 

Le festival vous offre des spectacles, des lectures, des films, des expositions… tout par rapport au sujet "les Rebelles".

 

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2 octobre 2014 4 02 /10 /octobre /2014 04:00

L'INFO n° 632

 

Le Concours national de la Résistance et de la Déportation (CNRD) a été créé officiellement en 1961 par Lucien Paye, ministre de l'Éducation nationale, à la suite d'initiatives de la Confédération Nationale des Combattants Volontaires de la Résistance (CNCVR), de la Fédération Nationale des Déportés et Internés de la Résistance (FNDIR) et l'association " Le Réseau du Souvenir " du Révérend-Père Michel Riquet.
Ce concours a pour objectif de perpétuer chez les jeunes Français la mémoire de la Résistance et de la Déportation afin de leur permettre de s'en inspirer et d'en tirer des leçons civiques dans leur vie d'aujourd'hui.

L’UNADIF-FNDIR, un initiateur du Concours national de la Résistance et de la Déportation en 1961, membre du jury national et des jurys départementaux depuis l'origine du concours vous communique le Palmarès national du CNRD 2013-2014.

Le thème 2013-2014 était : « La libération du territoire et le retour à la République ».

35 083 élèves issus de 1 718 établissements répartis sur l'ensemble du territoire national ainsi que d'établissements français à l'étranger ont participé au concours de l'année scolaire 2013-2014. Plusieurs centaines d'entre eux ont reçu des prix attribués, en mai et juin 2014, par les jurys départementaux. Les meilleurs travaux ont été transmis au jury national par les directions des services départementaux de l'Education nationale.

Après avoir examiné l'ensemble des travaux qui lui ont été remis, le jury national du Concours national de la Résistance et de la Déportation réuni à Paris le 24 septembre 2014, a arrêté le palmarès suivant :

CLASSES DE LYCEE :

Première catégorie « Réalisation d'un devoir individuel en classe » Prix : Clara MILLET, du lycée général et technologique "Jean Michel" à Lons-le-Saunier (département du Jura, académie de Besançon) ; Francesco OLIVO-CASASOLA, du lycée général et technologique "Saint-Joseph" à Thonon-les-Bains (département de la Haute-Savoie, académie de Grenoble) ; Monia SAVEL, du lycée général et technologique "Simone Weil" au Puy-en-Velay (département de la Haute-Loire, académie de Clermont-Ferrand) ; Myriam STYCZEN, du lycée général et technologique "Notre-Dame de Bury" à Margency (département du Val-d'Oise, académie de Versailles).

Mentions : Bénédicte COLIN, du lycée général "Kléber" à Strasbourg (département du Bas-Rhin, académie de Strasbourg) ; Florette COUDRIET, du lycée polyvalent "Edouard Belin" à Vesoul (département de la Haute-Saône, académie de Besançon) ; Caroline LAVERROU-KRAUSER, du lycée général "Saint-Louis de Gonzague" à Perpignan (département des Pyrénées-Orientales, académie de Montpellier) ; Candice LUISSINT, du lycée général et technologique "Jardin d'Essai" aux Abymes (département de la Guadeloupe, académie de la Guadeloupe).

Deuxième catégorie "Réalisation d'un travail collectif" Prix : Les élèves du lycée polyvalent "du Dauphiné" à Romans-sur-Isère (département de la Drôme, académie de Grenoble) ; Les élèves du lycée polyvalent "Jan Lavezzari" à Berck-sur-Mer (département du Pas-de-Calais, académie de Lille) ; Les élèves du lycée général et technologique "Arthur Varoquaux" à Tomblaine (département de la Meurthe-et-Moselle, académie de Nancy-Metz).

Mentions : Les élèves du lycée professionnel "Sauxmarais" à Tourlaville (département de la Manche, académie de Caen) ; Les élèves du lycée professionnel "Frédéric Faÿs" à Villeurbanne (département du Rhône, académie de Lyon) ; Les élèves du lycée professionnel "Hector Guimard" à Paris (département de Paris, académie de Paris) ; Les élèves de l'unité locale d'enseignement (ULE) de la maison d'arrêt de Fleury-Mérogis (département de l'Essonne, académie de Versailles) ; Les élèves du lycée polyvalent "Camille Pissaro" à Pontoise (département du Val-d'Oise, académie de Versailles).

Troisième catégorie "Réalisation d'un travail collectif audiovisuel" Prix : Les élèves du lycée général "Vaugelas" à Chambéry (département de la Savoie, académie de Grenoble) ; Les élèves du lycée général et technologique "Jean Monnet" à Annemasse (département de la Haute-Savoie, académie de Grenoble).

Mentions : Les élèves du centre EPIDE (établissement public d'insertion de la Défense) de Belfort (Territoire de Belfort, académie de Besançon) ; Les élèves du lycée général et technologique "Notre-Dame de Campostal" à Rostrenen (département des Côtes-d'Armor, académie de Rennes).

 



CLASSES DE TROISIEME (COLLEGE) :

Quatrième catégorie "Réalisation d'un devoir individuel en classe" Prix : Lisa FIDON, du collège "Louis Pasteur" à Jussey (département de la Haute-Saône, académie de Besançon) ; Baptiste TOURTELIER, du collège "Louis Pasteur" à Villemomble (département de la Seine-Saint-Denis, académie de Créteil) ; Lucie FAYETTE, du collège "Vendôme" à Lyon (département du Rhône, académie de Lyon) ; Baptiste THOLONIAT, du collège "Colbert" à Châteauroux (département de l'Indre, académie d'Orléans-Tours).

Mentions : Manon CHEVALIER, du collège "Europe - Jean Monnet" à Bourg-de-Péage (département de la Drôme, académie de Grenoble) ; Célia TERRATS, du collège "Saint-Exupéry" à Perpignan (département des Pyrénées-Orientales, académie de Montpellier) ; Louis-Barthélémy LEGOUX, du collège "Stanislas" à Paris (département de Paris, académie de Paris) ; Laurie PERROCHAUD, du collège "Albert Camus" à Frontenay-Rohan-Rohan (département des Deux-Sèvres, académie de Poitiers).

Cinquième catégorie "Réalisation d'un travail collectif" Prix : Les élèves du collège "Marie Marvingt" à Tallard (département des Hautes-Alpes, académie d'Aix-Marseille) ; Les élèves du collège "La Roche Beaulieu" à Annesse et Beaulieu (département de la Dordogne, académie de Bordeaux) ; Les élèves du collège "André Malraux" à Amboise (département d'Indre-et-Loire, académie d'Orléans-Tours).

Mentions : Les élèves du collège "Lucie Aubrac" à Morvillars (Territoire de Belfort, académie de Besançon) ; Les élèves du collège "Armand Lanoux" à Champs-sur-Marne (département de Seine-et-Marne, académie de Créteil) ; Les élèves du collège "François Villon" à Saint-Gély du Fesc (département de l'Hérault, académie de Montpellier).

Sixième catégorie "Réalisation d'un travail collectif audiovisuel" Prix : Les élèves du collège "Sadi Carnot" à Pointe-à-Pitre (département de la Guadeloupe, académie de la Guadeloupe) ; Les élèves du collège "Massenet Fourneyron" au Chambon-Feugerolles (département de la Loire, académie de Lyon).

Mentions : Les élèves du collège "Léonard de Vinci" à Tours (département d'Indre-et-Loire, académie d'Orléans-Tours) ; Les élèves du collège "Michèle Pallet" à Angoulême (département de la Charente, académie de Poitiers).

 

L’UNADIF ET LA FNDIR RENOUVELENT LEURS PLUS CHALEUREUSES FELICITATIONS A TOUS LES LAUREATS

 

 

CNRD 2014 - 2015

Enseignants et élèves, mobilisez-vous et inscrivez-vous nombreux pour le CNRD de cette année scolaire 2014 – 2015, dont le thème est :

« La libération des camps nazis,  le retour des déportés et la découverte de l'univers concentrationnaire « 

 

Vous trouverez prochainement sur notre site internet www.unadif.fr  comme chaque année, dans nos différentes rubriques, de nombreux documents d’aide à la préparation du concours, la brochure nationale est disponible sur notre site internet depuis septembre :
 

http://www.unadif.fr/pedagogie/concours-national-de-la-resistance-et-de-la-deportation

http://www.unadif.fr/documents-pedagogiques  

http://www.unadif.fr/histoire-et-temoignages/temoignages
 

PARTICIPEZ nombreux au CNRD 2014-2015 !

 

Gérard BOCQUERY
Secrétaire général adjoint de l’UNADIF
unadif-bocquery@laposte.net

 

Palmarès national du CNRD 2013-2014
Palmarès national du CNRD 2013-2014
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1 octobre 2014 3 01 /10 /octobre /2014 04:30

L'INFO n° 631

 

Samedi 11 octobre 2014 : Inauguration de l'Espace-culturel

Maurice Ripoche à Montfaucon-Montigné (Maine-et-Loire)

 

Pilote d'avion de chasse pendant la Grande Guerre, Maurice Ripoche reprend ses études pour devenir ingénieur diplômé.

Âgé de 45 ans en 1940, Maurice Ripoche n'est pas mobilisable et ne participe pas à la campagne de France.

En août 1940, ne pouvant supporter l'humiliation de la défaite et l'occupation allemande, il fonde un des premiers mouvements de Résistance « Ceux de la Libération » à Paris.

Bientôt Maurice Ripoche, dont le mouvement s'amplifie, est  traqué par les Allemands.  Pour échapper au danger, il vient s'installer à Montigné où il a des attaches familiales et où il vient d'acquérir, sous un faux nom, le château de la  Turmellière  à l'écart des grands axes.

Il va en faire pour quelque temps son « poste de commandement ».

 

Mais, le 9 octobre 1941, la répression allemande s'abat sur la Turmellière qui est encerclée et investie par  14 membres de la Gestapo. Maurice Ripoche parvient à s'enfuir de justesse, emportant avec lui ses archives et son matériel compromettant. Il gagne alors Lyon et prend avec Jean Moulin d'importantes  mesures d'organisation.

 

Début 1942, il rentre à Paris  où il reprend la direction de son réseau. Traqué par la Gestapo, il est arrêté le 3 mars 1943.

Maurice Ripoche est un homme important pour la Résistance et il est décidé de le faire évader en achetant la complicité de ses gardiens. La procédure échoue de peu et Maurice Ripoche est transféré à la prison de Düsseldorf-Derendorf, où durant 14 mois il est tenu au secret en cachot, puis, il fut jugé et condamné à mort en mai 1944.

A la Libération, les habitants de Montigné apprennent la nouvelle de la disparition de  Maurice Ripoche qui avait été guillotiné par les Allemands à Cologne le 20 juillet 1944.

Après la guerre, sa famille vient chercher son corps qui avait été enseveli par un aumônier allemand. Après un hommage rendu aux Invalides, son corps est transféré dans le caveau familial.

 

 

A l'occasion du 70e anniversaire de la mort de Maurice Ripoche, la commune de Montfaucon-Montigné (Maine-et-Loire) a tenu à donner son nom à un nouvel espace culturel.

 

L'inauguration aura lieu le samedi 11 octobre 2014

10 h 30 : Messe en l'église Saint-Jacques.

12 h 00 : Vin d'honneur. Buffet.

14 h 00 : Prise d'armes place du Souvenir.

15 h 00 : Défilé des troupes jusqu'au Carré militaire.

16 h 00 : Inauguration de la plaque Maurice Ripoche à l'espace culturel.

Espace-culturel Maurice Ripoche
Espace-culturel Maurice Ripoche
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30 septembre 2014 2 30 /09 /septembre /2014 07:11

L'INFO n° 630

 

Le procureur général Kurt Schrimm, directeur de l'Office central de Ludwigsburg, ouvre un des nombreux tiroirs où sont classées quelque 1,7 million de fiches d'anciens criminels nazis, depuis 1958.
Bientôt, tous les anciens criminels nazis auront disparu. Alors l'Office central de Ludwigsburg, qui, depuis 1958, a engagé quelque 18 000 procédures ayant mené à 6 500 condamnations, fermera ses portes. Mais d'ici là, ses limiers escomptent bien exhumer quelques dernières affaires du IIIe Reich.

«N'importe qui ayant travaillé dans un camp de la mort peut désormais être poursuivi», insiste-t-il, en félicitant les Allemands de leurs efforts pour mener leur travail de mémoire jusqu'au bout. Les crimes nazis ne sont pas prescrits en Allemagne, contrairement à d'autres pays. «L'âge de ces personnes n'est pas un sujet», ajoute-t-il. Poursuivre d'anciens nazis est «une question de volonté»



Les armoires métalliques sont rangées le long des murs. À l'intérieur, des rayonnages de petites fiches cartonnées de couleur reprennent consciencieusement les noms, les lieux, les dates, les faits. Les archives de l'Office central de Ludwigsburg sur les crimes nazis ressemblent à une ancienne bibliothèque. Le travail se fait à la main pour consigner la mémoire des crimes perpétrés par le régime nazi. Les tiroirs contiennent 1,7 million de fiches, classées par individu, lieu ou régiment. C'est la mémoire du lieu, créé en 1958. «Cela nous permet de documenter les cas et de recouper des faits», explique Kurt Schrimm, son directeur. Ce procureur, qui n'aime pas être présenté comme un chasseur de nazis, partira en retraite l'année prochaine. D'ici là, il a encore à faire: soixante-neuf ans après la fin de la Deuxième Guerre mondiale, l'Allemagne n'a pas renoncé à poursuivre les criminels nazis jusqu'au dernier. Si possible jusqu'au dernier complice, avant qu'il ne soit trop tard.

Les affaires tombent au compte-gouttes. Elles sont le résultat d'un travail minutieux. Mi-septembre, un ancien SS a été mis en accusation par le parquet de Hanovre. L'homme de 93 ans aurait travaillé au camp d'extermination d'Auschwitz entre mai et juillet 1944. Il sera jugé pour «complicité de meurtres dans au moins 300 000 cas». C'est le nombre de morts estimés dans le camp pendant qu'il y travaillait. «L'accusé aurait aidé dans le camp d'extermination d'Auschwitz à faire disparaître les bagages des déportés. Cela permettait d'anéantir toute trace d'extermination avant l'arrivée des prochains convois, a expliqué la justice allemande. L'accusé savait que les détenus, juifs en majorité, étaient immédiatement après leur arrivée exterminés dans les chambres à gaz d'Auschwitz quand ils n'étaient pas sélectionnés pour travailler.»La date du procès n'a pas encore été fixée.

Ce sera sans doute l'un des derniers du genre. Chaque affaire est un défi pour la justice allemande: les traces des crimes ont été effacées, la plupart des témoins directs ont disparu et les accusés plaident souvent la vieillesse pour éviter de répondre de leurs actes. Les principaux responsables des massacres ont déjà été jugés ou sont décédés. Il ne reste que les petites mains du régime à arrêter, comme les gardes en poste dans les camps de la mort. «Nous ne cherchons pas des personnes que nous connaissons mais des faits et des personnes que nous ne connaissons pas encore», raconte Kurt Schrimm, à Ludwigsburg. Une aiguille dans une botte de foin. Un travail à l'aveugle. Il est incapable de dire combien d'entre eux sont encore en vie. Jusqu'à présent, ils se sont faufilés entre les mailles de la mémoire. «Il y a encore aujourd'hui des crimes perpétrés par les nazis qui n'ont pas été répertoriés, poursuit-il. Il y a quelques années, nous avons reçu une lettre d'un témoin qui vivait à l'étranger et qui s'était tu pendant cinquante ans. Il racontait avoir vu lui-même juste avant la fin de la guerre sept Juifs être assassinés.» Un nouveau crime, une nouvelle enquête. Une information à répertorier. Mais le coupable, quel qu'il soit, doit être âgé de 90 ans environ.

Établir la culpabilité d'un individu, dans ces conditions, constitue un exploit. Mais depuis trois ans la justice allemande a ouvert plusieurs enquêtes. Elle a de nouveaux arguments à faire valoir. La condamnation en 2009 de l'ancien garde du camp de Sobibor, John Demjanjuk, a changé la donne. Kurt Schrimm avait convaincu le parquet de Munich de demander son extradition des États-Unis et d'instruire son procès de complicité de meurtre. Demjanjuk a été condamné alors qu'aucune preuve ne le liait à un crime précis. Mais la justice avait estimé qu'il ne pouvait ignorer les faits perpétrés dans ce camp où plus de 27 000 Juifs périrent. C'est une rupture par rapport à la jurisprudence allemande, qui exigeait, depuis 1969, une participation active à un crime pour condamner un accusé. «Pendant quarante ans il a fallu travailler dans ce sens», semble regretter Kurt Schrimm. Souvent les preuves irréfutables manquaient pour obtenir des condamnations.



«Une question de volonté»

«La beauté de la situation, c'est que nous n'avons plus besoin de trouver de preuves, n'importe qui ayant travaillé dans un camp de la mort peut désormais être poursuivi »,

se réjouit l'historien israélien Efraim Zuroff. Le centre Simon Wiesenthal, qu'il dirige, a lancé l'année dernière l'opération «Dernière chance», et promet une récompense à quiconque communiquera des informations sur d'anciens nazis encore en vie. «N'importe qui ayant travaillé dans un camp de la mort peut désormais être poursuivi», insiste-t-il, en félicitant les Allemands de leurs efforts pour mener leur travail de mémoire jusqu'au bout. Les crimes nazis ne sont pas prescrits en Allemagne, contrairement à d'autres pays. «L'âge de ces personnes n'est pas un sujet», ajoute-t-il. Poursuivre d'anciens nazis est «une question de volonté», dit-il.

Ce n'est pas forcément si simple. D'abord parce que l'état de santé de certains suspects ne permet pas une poursuite, ou ne lui donne pas grand sens. Pour une raison juridique, ensuite: l'affaire Demjanjuk n'a pas été jugée en appel, en raison du décès de l'accusé. Personne ne sait donc si la Cour fédérale de justice, si elle avait été saisie, aurait validé le jugement, ou si elle aurait confirmé la décision de 1969. En attendant, la justice allemande enquête. En novembre 2013, l'Office de Ludwigsburg a déposé trente dossiers sur les bureaux des procureurs allemands, concernant d'anciens gardes d'Auschwitz. Ce n'est qu'une goutte d'eau par rapport aux 6 000 cas étudiés au préalable, à partir des listes disponibles sur le personnel du camp. Entre dix et vingt autres affaires pourraient être examinées. À chaque fois, Kurt Schrimm et son équipe, avec minutie, ont préparé un dossier, qui a été transmis aux parquets des régions concernées. Certains procureurs, à Dortmund ou à Stuttgart, ont l'habitude de ce genre d'affaires. D'autres ont besoin d'être épaulés ou incités à avancer. Il faut aussi lutter contre le désabusement. Si longtemps après les faits, l'opinion allemande, sans rien retirer au traumatisme, s'interroge sur la pertinence de ces poursuites qui rarement aboutissent.

 

Il faut pouvoir prouver que les accusés étaient au courant des crimes commis. «Sobibor était beaucoup plus petit qu'Auschwitz», explique Kurt Schrimm. Il était possible, à Auschwitz, d'ignorer l'horreur, reconnaît-il. Le procureur évoque le cas d'un soldat «qui ne se trouvait pas à l'intérieur du camp»: «Son rôle était d'emmener les prisonniers jusqu'à la porte. Il ne savait pas ce qui se passait à l'intérieur.» En outre, la seule présence à l'intérieur du camp ne suffit pas à juger les accusés. Le parquet de Stuttgart a ainsi dû abandonner une procédure contre un ancien garde d'Auschwitz. «Il était impossible de prouver la complicité», explique-t-on. Il ne reste plus que cinq procédures en cours là-bas.

Pour établir aussi précisément que possible ce que chacun pouvait savoir, les enquêteurs ont notamment fait réaliser une modélisation en trois dimensions d'Auschwitz, dont il ne reste aujourd'hui plus qu'une petite partie. «Nous pouvons ainsi déterminer ce qu'il était possible de voir», explique Kurt Schrimm. Dans une autre affaire, celle du massacre d'Oradour-sur-Glane, le procureur de Dortmund, Andreas Brendel, s'est rendu sur place, pour visualiser la configuration du village et invalider les témoignages des six derniers accusés. Ils assuraient être en fonction loin du lieu du massacre et ne pas en avoir été témoins. Trois d'entre eux ne sont pas en état d'être poursuivis. Pour les autres, «il n'y a pas encore assez de preuves» pour conclure la procédure, explique-t-on à Dortmund. Andreas Brendel poursuit l'enquête, à la recherche de nouvelles archives, d'éventuelles indications à découvrir, de témoins survivants.



Pallier les défaillances de la mémoire

Pour retrouver et capturer les anciens nazis, il faut pallier les défaillances de la mémoire et les angles morts de l'histoire. Le quotidien des enquêteurs ressemble alors davantage à un travail d'historien que de policier. C'est un document retrouvé dans les archives de la Stasi qui a permis le réexamen du cas d'Oradour-sur-Glane: les soldats de la division Das Reich devaient «faire couler le sang», atteste le témoignage découvert par un historien. À Ludwigsburg, ils sont sept enquêteurs à plancher sur le passé. Pour trouver de nouvelles pistes, ils explorent les archives du monde entier. À l'Est, tout d'abord, en Biélorussie ou en Russie: en épluchant les actes de procès contre des prisonniers de guerre, qui se sont tenus en 1945 ou 1946, l'équipe de Kurt Schrimm a découvert la trace de crimes non répertoriés. À l'Ouest ensuite, en Amérique du Sud: de nombreux criminels s'y sont réfugiés après la guerre pour y rechercher l'anonymat. Les enquêteurs examinent donc les registres des offices d'immigration durant la décennie qui a suivi la victoire alliée. Dernièrement, ils se trouvaient à Rio de Janeiro. «C'est un travail laborieux, explique Kurt Schrimm. Les archives sud-américaines ne respectent pas les mêmes normes qu'en Europe. Elles ne sont pas digitalisées, faute d'argent. On ne peut pas y travailler avec un ordinateur», soupire-t-il. Il faut parfois insister pour accéder à ces informations: l'Équateur a accepté d'ouvrir ses archives sur le principe mais, en pratique, il n'a pas encore été possible de fixer une date pour s'y rendre. Le Venezuela, quant à lui, n'a pas répondu.

Lorsque les derniers criminels auront disparu, dans quelques années, les petites fiches et dossiers de l'Office central seront transmis aux archives fédérales. Il faudra alors trouver une autre utilité au bâtiment de Ludwigsburg. Avant d'accueillir des générations d'enquêteurs, c'était une prison.



Le Figaro Nicolas Barotte 26 septembre 2014

 

 

Sur les traces des derniers nazis
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29 septembre 2014 1 29 /09 /septembre /2014 05:00

L'INFO n° 629

 

Le Mémorial de la Déportation de la Mayenne a le plaisir de recevoir Paul Bançais et Jacques Mathien de Dire Lire le dimanche 5 octobre 2014 à 15h.

 

Des récits de Déportés seront lus par ces deux conteurs, dans une atmosphère toute particulière.

 

Le Mémorial sera aussi ouvert à la visite ce jour-là de 14h à 18h. Entrée payante (tarifs habituels : adulte 4 €, réduit 2€)

Récits de Déportés
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25 septembre 2014 4 25 /09 /septembre /2014 19:38

L'INFO n° 628

Photo © Reuters

Photo © Reuters

L'UNADIF & la FNDIR sont horrifiées par l’exécution barbare d'Hervé Gourdel.


COMMUNIQUE UNADIF - FNDIR


Les déportés, internés pour faits de résistance, leurs descendants, sont horrifiés par l’exécution barbare de Monsieur Hervé GOURDEL, mort lâchement assassiné parce qu’il était de nationalité française.


Ils ne peuvent s’empêcher de se remémorer les heures les plus sombres de notre Histoire, marquées par la barbarie nazie à laquelle les manifestations actuelles de terrorisme n’ont rien à envier dans l’escalade de l’horreur.


Les associations UNADIF et FNDIR approuvent les dirigeants de notre Nation à faire preuve de la fermeté la plus absolue pour combattre et anéantir la « bête immonde » qui resurgit pour menacer et massacrer des citoyens innocents.


Elles présentent leurs condoléances les plus émues à la famille qui doit surmonter la terrible épreuve de cette cruelle séparation, et s’unissent de cœur avec toutes celles et tous ceux qui éprouvent la même émotion aujourd’hui.

 


A Paris, le 25 septembre 2014
François PERROT, Président de la FNDIR
Jean-Marie MULLER, Président de l’UNADIF
Et tous les membres du Bureau national

 

 

 

 

Tous les Drapeaux en berne pendant trois jours, vendredi, samedi et dimanche en France en hommage à notre compatriote Hervé Gourdel assassiné

Assassinat d'Hervé GOURDEL
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25 septembre 2014 4 25 /09 /septembre /2014 04:30

L'INFO n° 627

 

Dans le cadre des Jeudis de l'Histoire

Jeudi 2 octobre, à 17 heures, au Mémorial Leclerc - Musée Jean Moulin

Aurélie Luneau présentera son ouvrage

Je vous écris de France : Lettres inédites à la BBC, 1940-1944.

 

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Je vous écris de France : Lettres inédites à la BBC, 1940-1944
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24 septembre 2014 3 24 /09 /septembre /2014 05:00

L'INFO n° 626

 

Tony Vaccaro, photographe majeur, souvent comparé au reporter de guerre Robert Capa, expose au Mémorial de Caen, 100 photos de la Libération de l’Europe occidentale, prises lors de l’avancée de la 83ème division d’infanterie américaine, entre la Normandie et Berlin (1944-1945).

 

En savoir plus...

© Tony Vaccaro / Galerie Bilderwelt
© Tony Vaccaro / Galerie Bilderwelt
© Tony Vaccaro / Galerie Bilderwelt

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